Prenez soin de votre propre jardin

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Ce livre électronique sur l’étagère que vous vouliez apprendre depuis longtemps ? Ce portrait a commencé à attendre les derniers coups de pinceau ou cette sculpture en bois attend toujours la touche finale ? Retourne travailler! Dans l’agitation de la vie quotidienne, les petits problèmes sont généralement oubliés et mis de côté.

Prenez du temps pour vos passe-temps et prospérez dans votre “mouvement”, l’état de pleine concentration et d’immersion. Notre communauté est d’accord : grâce à des loisirs comme lire, faire soi-même, cuisiner ou écouter de la musique – page d’accueil, vous gérez votre bien-être mental. Qu’allez-vous mettre dans votre liste ? Pistolet de massage : l’arme universelle contre les douleurs et raideurs musculaires

Reprendre vos hobbies (enfin)

Bêcher la terre avec les bras, semer, arroser, bêcher et admirer l’expansion de la végétation : beaucoup de nos prospects ont créé leur propre potager et se consacrent au jardinage comme passe-temps. Qu’il s’agisse d’un jardin, de la terrasse, du potager ou du jardinage urbain sur le balcon : les espaces verts, la variété des couleurs et les sources d’eau ont un effet apaisant.

Dans l’arrière-cour, nous observons et comprenons consciemment ce qui nous entoure. Nous sentons, prêtons attention et sentons avec nos mains. Savourons la seconde. Et surtout avec des légumes cultivés sur place, des fruits juteux et des herbes parfumées, les repas sont encore meilleurs. Ce qui, comme nous en avons déjà parlé, n’est qu’un autre avantage pour notre bien-être psychologique.

Qu’est-ce qui vous fait vous sentir bien ?

Une réponse que nous avons particulièrement appréciée : « Lire les articles SportXX ». Prenez-vous également plaisir à lire nos articles? Ci-dessous, vous pouvez voir plus de données sur le bien-être psychologique et vous en apprendrez davantage sur des sujets liés au mouvement, au bien-être et au divertissement.

Qu’allez-vous mettre sur votre liste ?

Suivez-nous sur Facebook ou Instagram et écrivez-nous là-bas. On parle aujourd’hui de santé psychologique et cognitive, mais peut-être pas suffisamment, vu la montée des pathologies liées à ces deux domaines : si les composantes génétiques sont importantes, l’existence n’en est pas moins essentielle et si l’examen des précédents, bien que prometteur, il a encore une approche étendue à parcourir, concernant ce dernier, nous avons maintenant une très grande quantité de littérature.

Des existences déjà problématiques se sont encore aggravées avec le Covid-19 et pas uniquement par la vitamine : à titre d’exemple, je ne cite qu’une étude de Hu et al. (1), où il est montré comment l’isolement et la quarantaine à cette époque ont limité les actions corporelles et sociales des habitants, ce qui a contribué à l’augmentation de la fréquence des problèmes mentaux.

La dépression et l’anxiété sont les maux les plus typiques et ont une impression critique sur la qualité de vie de ceux qui en souffrent et de leur entourage … mais la demande élevée de prestataires dans ce domaine est destinée à rester sans réponse, comme l’a dit l’OMS qui, sur la base d’une recherche menée dans cent trente pays, a découvert que 93% des services de santé psychologique ont subi de graves ralentissements.

Citation aussi pour le syndrome Long Covid : si les corrélats physiologiques restent malheureusement dans certains cas prolongés, des études très récentes (2), (3) mettent en évidence quelques écarts par rapport aux corrélats psycho-mentaux, étant donné que les détecte en outre des problèmes des mois après l’infection, tandis que le second conclut qu’ils reviennent pour la plupart à la normale (compte tenu de la part d’affections qui caractérisent déjà la population…).

Anxiété et sédentarité : quels liens et thérapies ?

L’anxiété et la sédentarité profitent des avantages du train standard. Au fil du temps, la communauté scientifique s’est penchée sur le lien entre mode de vie sédentaire et santé mentale, et a mis en évidence le bon facteur physiologique du sport pour apaiser les signes de sédentarité et de nervosité.  Que disent les avis ? Lisez l’article pour en savoir plus.

Anxiété et sédentarité : une évaluation scientifique

Anxiété et sédentarité : quels liens et thérapies ?

Le comportement sédentaire est un mal commun des occasions récentes. Dans une récente étude scientifique publiée par BMC Public Health Review, un mode de vie inactif pourrait également être un indicateur de risque pour le développement de maladies persistantes, y compris les problèmes cardiaques et le diabète. Fait intéressant, cependant, une absence de mouvement a également des conséquences dans le domaine de la santé mentale.

  • Anxiété et sédentarité : quels liens et thérapies ?Chez les enfants et les adolescents, les problèmes dérivant de la sédentarité (obésité, fatigue dans les efforts corporels) peuvent entraîner des troubles psychosociaux destinés à se consolider avec l’âge, tels que la nervosité, le désespoir, une faible estime de soi et un mauvais bien-être psychologique en général.
  • Il faut souligner que la littérature scientifique ne détecte pas avec une certitude absolue l’affiliation constructive entre le comportement sédentaire et quelques maladies psychologiques, mais étudie sa relation avec les signes d’anxiété (peur constante, tachycardie, détresse respiratoire, tremblements, attaques de panique)
  • Ces dernières années, la sédentarité a été favorisée par les habitudes de travail et de loisirs : de plus en plus de personnes passent leur temps devant des écrans de PC, de téléphone ou de pilules, ce qui pourrait améliorer la sensibilité aux états anxieux. Cette altération pourrait être associée à une modification de l’hygiène du sommeil, compromise par une exposition excessive à la lumière bleue.

Comment un mode de vie sédentaire a-t-il un effet sur la santé mentale ?

Le lien entre habitudes sédentaires et nervosité pourrait éventuellement être renforcé par la présence de certaines altérations métaboliques. L’anxiété et la mélancolie sont en effet des manifestations psychologiques très fréquentes chez les patients diabétiques. La présence de symptômes anxieux et dépressifs pourrait être à la base d’une diminution de l’exercice physique de routine et d’un ralentissement psychomoteur pouvant favoriser un mode de vie sédentaire avec une augmentation conséquente de la glycémie. Moins d’exercice physique, de ce fait, conduirait à des signes plus grands.