Ils ne sont pas destinés à se substituer DÉTAILS à une alimentation variée et équilibrée et ne doivent pas être considérés comme des médicaments.
Chaque moment de la vie, qu’il s’agisse d’une phase physiologique ou d’une période transitoire (activité physique intense, régimes restrictifs, fatigue ou déshydratation), augmente les besoins quotidiens ou le risque de carence nutritionnelle de manière spécifique selon les situations.
Chez le nourrisson
Dès la première année de vie, le micronutriment à intégrer est la vitamine D pour la reminéralisation osseuse.
Chez l’enfant, partant de l’hypothèse qu’une alimentation saine, variée et équilibrée suffit à garantir les besoins de tous les nutriments liés à la croissance, la supplémentation pourrait être utilisée à certaines occasions très précises seulement après un contrôle clinique minutieux :
si vous pratiquez une activité agoniste ou pré-agoniste il est important d’évaluer qu’il n’y a pas de carences nutritionnelles en vitamines du groupe B, vit C, vit D et minéraux (Ca, Mg, Fe, Zn). Pour apporter un meilleur soutien métabolique à la performance, la possibilité d’une intégration pourrait être évaluée.
Lorsque vous suivez un régime végétalien ou végétarien
Pour éviter certaines carences, il serait judicieux de prendre un supplément de vitamine B12, et vous pourrez bénéficier d’une supplémentation en fer et en vitamine D.
Si votre enfant mange peu de légumes : cela pourrait entraîner le risque de ne pas consommer suffisamment de vitamines et de minéraux. Dans ce cas, l’intégration d’une multivitamine à la dose appropriée et pour la durée appropriée pourra être évaluée en collaboration avec le pédiatre.
Chez la femme, la bonne intégration doit être choisie en fonction de la phase :
Pendant la grossesse : les directives nationales et internationales recommandent l’apport de 400 μg/jour d’acide folique au moins trente jours avant la conception et jusqu’à au moins trois mois de gestation, ce qui est essentiel dans la prévention de certaines malformations congénitales.
Pendant l’allaitement, surtout si l’on ne consomme pas de poisson, l’infirmière doit prendre quotidiennement 100 à 200 mg de DHA, essentiel au développement cérébral du bébé. Un apport quotidien de 290 µg/jour d’iode est également recommandé.
- Dans cette phase, toujours comme indiqué dans les lignes directrices SIGO, des carences en micronutriments pourraient survenir en raison de besoins accrus, par exemple en vitamine C, folate, certaines vitamines B, vitamine A, calcium, vitamine D.
- À la ménopause, une supplémentation en vitamine D et en calcium est généralement recommandée.
Femmes végétariennes et végétaliennes
Là où l’introduction d’aliments enrichis en B12 et en fer n’est pas en mesure de garantir leurs besoins quotidiens, le besoin d’une éventuelle supplémentation se fait sentir.
- Conseils aux plus de 60 ans
- Chez les sujets de plus de 60 ans, il est recommandé de prendre :
1,1 g de protéines par jour pour chaque kilogramme de poids corporel pour les hommes et les femmes. Au fil des années, notre composition corporelle évolue, nous avons tendance à augmenter la masse grasse et commençons à perdre de la masse musculaire. L’intégration doit donc être insérée dans le contexte du processus de vieillissement physiologique.
En effet, les processus anabolisants deviennent moins efficaces et le catabolisme des protéines augmente au niveau musculaire. Cela entraîne un besoin accru en protéines et surtout en protéines de haute qualité.
Il peut donc être nécessaire de contrecarrer ces mécanismes biologiques, comme la perte de force musculaire, en complétant l’alimentation avec des protéines de haute valeur biologique comme les protéines de lactosérum du lait. Leur supplémentation contribue à assurer un apport suffisant en protéines de haute valeur biologique et en acides aminés à chaîne ramifiée comme la leucine.
Vitamine C, utile au fonctionnement normal du cartilage en raison de son rôle dans la synthèse du collagène, en plus d’être un puissant antioxydant.
Le magnésium est important pour la fonction musculaire normale et la synthèse des protéines
La Vitamine D et le Calcium contribuent au bien-être des os, à la transmission de l’influx nerveux, à la contraction et à la relaxation des cellules musculaires.
Il convient de souligner une fois de plus qu’en tant que suppléments, ce sont des produits utilisés pour intégrer et non pour remplacer une alimentation correcte ou compenser des habitudes incorrectes. Les suppléments peuvent jouer un rôle actif et décisif dans le bien-être individuel.
- Il est toujours bon d’évaluer avec un expert quand et pour combien de temps l’embaucher.
- Les suppléments vitaminiques font partie des produits les plus annoncés dans le domaine des compléments alimentaires.
- Il suffit d’allumer la télévision, de parcourir les rayons d’un supermarché ou d’entrer dans une pharmacie pour se rendre compte de la véritable ampleur du phénomène.
Le message souvent véhiculé par les campagnes publicitaires de ces produits suggère que n’importe qui peut avoir besoin de prendre des suppléments de vitamines pour contrôler son stress, pour faire face à des périodes de travail/études plus intenses, pour lutter contre le vieillissement ou pour faire face aux mille tensions quotidiennes. Cependant, nombreux sont ceux qui se demandent si tout cela est vrai.